30 septembre 2006

Nous sommes conscients qu'un journal ne peut plus exister en tant que tel, et qu'il devient bien une marque multimédia dont l'origine est le papier. Que chacun de ses groupes de presse développent de nouveaux supports d'exploitation de leur marque ne me gêne absolument pas, bien au contre, mais ils ne devraient pas négliger deux des aspects intrinsèques au journal : la lecture et le toucher